Attention, un nouveau dans la sécurité! (Libre)

Invité

Des heures et des heures de route. Mon père avait payer un conducteur pour aller me porter jusqu'à la bas! Je ne sais pas combien cela à du coûter, mais bon ce n'est pas moi qui a payé. Enfin, après des heures de route je me retrouver devant cet établissement, j'ai eu des frissons... Je ne savais pas il était quel heure, mais le soleil commençait à se coucher au loin. Je suis sortis de la voiture en prenant mes bagages. Je suis rentré par les portes qui firent un bruit sinistre, mais bon cet établissement est vieux non?

Il n'y a personne dans le hall d'entrée, je pensais que quelqu'un serai là pour m’accueillir et me montrer l'établissement, mais non. Le personnel doit être occupé. Je me suis assis sur une chaise près du secrétariat, j'étais épuiser malgré que j'ai passer beaucoup de temps dans une voiture... C'est épuisant quand même!

'' Il y a quelqu'un?''

Je ne m'attendais pas vraiment a recevoir de réponse, si quelqu'un s'en viens je suis sur que je l’entendrai c'est tellement silencieux que je pourrais entendre une mouche voler. Mais bon je ne préfère pas me promener comme ça au cas où on me prendrais pour un patient... A bien y penser j'ai ma lettre comme preuve que je ne suis pas un patient, mais quelqu'un qui viens remplir un nouveau poste dans cet établissement.

Killer Panda

Quelques heures avant….

A la maison un silence de mort régnait. Taro était assis sur la chaise et regardait ses parents. Personne n’osait prendre la parole, alors il se lança :

"Alors, il se passe quoi là ? vous m’avez à moitié drogué pour me sortir de ma chambre et me poser là et personne ne parle pour me dire quoi que ce soit…sérieux si vous avez rien à me dire je retourne dans ma chambre…."

Là son père leva une main pour le faire s’arrêter. Et il prit la parole à son tour :

"Ecoute…il se passe quelque chose et il va falloir qu’on fasse des changements…"

Génial, rien que le mot Taro en avait des frissons partout. Son père continua et lui expliqua qu’un de ses cousins truc machin allait devoir venir vivre ici, dans la maison. Idée qui ne plaisait pas du tout à Taro car si un nouveau débarque, lui il va aller où…Et justement son père lui expliqua alors l’idée de le mettre dans un établissement spécialisé qui avait l’art et la manière de traiter des gens avec des syndromes particuliers. Une structure adaptée. La bonne blague. Taro se leva et se dirigea vers sa chambre. Partir, et bien pas de souci après tout qu’il ait des nuits atroces ici ou ailleurs ne changerait rien. Il prépara donc ses affaires tout en se demandant à quoi pouvait bien ressembler cet établissement spécialisé. Allait-il y trouver des gens comme lui ? Pires ? Mieux ? Et comment allait-il faire s’il devait partager sa chambre avec quelqu’un…Trop de questions tournaient dans sa tête. Il se sentait pas très en forme et se disait que le trajet n’allait rien arranger. Le taxi klaxonna quelques minutes plus tard. Hallucinant, ses parents n’avaient pas perdu une minute.

En tout cas c’était ce qu’il pensait….

Plus tard...

Taro apercevait le bâtiment par la fenêtre de la voiture. Voilà on y était. Il en voulait à ses parents, terriblement. Ils l’avaient purement et simplement éjecté de la maison à la faveur de ce cousin venu d’il ne savait où. Lui, leur propre fils. Franchement, il savait qu’il n’était pas facile à vivre mais quand même se faire jeter dehors à 23 ans par ses parents, comme ça. Il ne digérait pas mais alors pas du tout.

La voiture s’arrêta devant l’entrée. Il regarda de plus près ce bâtiment et eut la chair de poule. Les nuits allaient être compliquées ici…Il sortit de la voiture. L’aura qui se dégageait de ce bâtiment lui faisait froid dans le dos. Le chauffeur lui jeta presque ses valises, un sac en tout et pour tout…. Et la voiture repartie aussitôt.

Taro prit son sac et avança. Toujours pas rassuré il pénétra dans le bâtiment : il y faisait frais, ça sentait le vieux et les médocs. Que du bonheur en perspective…Il se dit que l’accueil ne devait pas être loin. Mais en même temps il aurait bien voulu faire demi-tour et disparaitre. Mais il aperçût un peu plus loin un homme assis sur une chaise dans le hall. Pas plus enclin que ça à parler à quelqu’un, il se rapprocha tout de même. De toute façon, il avait pas le choix. Arrivant près du jeune homme il dit :

"Euh…Bonjour…" puis le regardant il vit la deuxième chaise libre et continua :

"Je peux ?" montrant la chaise vide…